Chapitre 3 – Partager
Bonsoir graines de livre,
Écrire pour partager. Cela est une magnifique manière de créer. Je vous avais écrit dans le chapitre deux (ici), qu’il fallait commencer à écrire pour soi et seulement après, pour les autres. Nous voilà donc, dans le vif du sujet, ce qui me donnera lieu de vous souhaiter d’être avide de partage. De vouloir donner sans prêter attention ce que vous allez recevoir (car il ne faut pas négliger l’éventuelle possibilité de ne rien recevoir). Donner des idées et des pensées mélodieuses. Nous possédons tous, le droit en étant des êtres humains, de pouvoir poser notre point de vue : la liberté d’expression. Pourtant, dans certains pays, celle-ci est compromise. Même dans notre société… Entre le pouvoir infini que recherche l’homme et le malheur qu’il pourra semer. Le fait est prouvé : nous avons tous et toutes des cordes vocales, des cavités buccales et de l’air à disposition. Néanmoins, je m’éloigne quelque peu (même si être « papillon » ne me dérange pas particulièrement, cela fait la richesse de la culture). Ceux qui ne peuvent point parler pose les mots sur le papier. Il en reste aussi, que les autres personnes, aillant les capacités de s’exprimer, ont souvent recours à la plume. Car, c’est fort bien connu, « les paroles s’envolent et les écrits restent ». Voilà, que le fameux dicton se vérifie par lui-même. J’aurais très bien pu avoir une chaîne YouTube et vous parler au travers de ma caméra. Mais je ne l’ai pas fait, je reste enraciné à mes lettres manuscrites ou tapées sur mon clavier. Je ne vous cache pas d’être une grande bavarde et soyez avertis que j’écris presque que comme je parle. Ou plus simplement, je n’écrirais jamais quelque chose que je n’oserai pas dire. Transmettre par le biais des textes est, je trouve, la plus belle des manières. Bien, que je concède, les paroles dites, sont parfois de meilleurs messages… Un(e) auteur(e) partage les mondes qu’il/elle crée, les aventures, les rires et les larmes… N’avez-vous pas déjà pleuré devant un film ? Ou à l’inverse, n’avez pas déjà souri devant un film/un livre ? Vous ressentez les émotions des personnages, qui vivent sans le récit comme si vous y étiez. Vous vous faites aussi votre propre ressenti à l’égal de ces derniers. Je suis presque certaine, que pour qualifier un livre de « bon », il faut que l’écrivain(e) ait réussi à toucher notre cœur. Même si je n’aime pas cette expression, parce que je ne trouve pas concret de caractériser le cœur, qui a pour but de nous faire vivre, aux sentiments. Qui eux, sont bien plus subtils. Je juge que désigner le côté gauche ou se situe le fameux cœur, n’est autre qu’un organe. Tout se passe au niveau du cerveau, cet incroyable mécanisme chimique ! Je ne vous ferai pas de cours de biologie aujourd’hui, seulement, je note que l’était d’âme n’as rien à se situer sous le poumon gauche.
J’espère que malgré mes blablatages j’aurais abouti à vos questions ou autres réflexions et à plus dans l’bus !